19 Nov

           Souris-moi 


Quel triste ornement que voilà,

L’affliction ne te sied guère,

Les larmes que tu verses

Assombrissent ton cœur

Et celui de ceux qui t’aiment

Ne te laisse pas happer par ces ténèbres

Qui veulent se saisir de toi

Et recoure ton doux visage

D’un sourire si radieux

Qu’il inondera nos vies

D’une douce et pure lumière.

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