Souris-moi
Quel triste ornement que voilà,
L’affliction ne te sied guère,
Les larmes que tu verses
Assombrissent ton cœur
Et celui de ceux qui t’aiment
Ne te laisse pas happer par ces ténèbres
Qui veulent se saisir de toi
Et recoure ton doux visage
D’un sourire si radieux
Qu’il inondera nos vies
D’une douce et pure lumière.