Vanité.
Nouvel Aragon,
Tu te noies aveuglément
Dans les yeux céruléens d’Elsa.
De leurs profondeurs tu oublies tes serments passés
Ou peut-être n’est-ce dû qu’à l’admiration qu’elle te porte ?
L’histoire se répète.
Tu recycles à nouveau
Tes mots et tes sentiments
Avec l’espoir que les yeux d’Elsa seront les derniers que tu contempleras.
(Lamour cependant demeure éphémère lorsqu’il n’est pas sincère. Il nous enterre.)