Père
On le dit être de lumière,
Omniprésent, omnipotent,
Mais ou ce cache donc ce père,
Dont j’ai besoin à présent ?
Et pourtant je l’implore,
Sans cesse, nuit et jour,
De me donner la mort
Pour ne plus souffrir de cet amour.
Ô toi mon père,
Pourquoi me fais-tu languir
De cette sombre manière
Qui me fait lentement périr ?