Faisceau de lumière statique
Tu ne peux de mon regard
Te cacher
Tandis que l’inconnu
Les yeux fermés
Dort à mes côtés
Dans cet assourdissant brouhaha.
Soudain tout disparaît
Sous un dégradé de couleurs printanières
Que l’inconnu dans son sommeil
Ne peut admirer.
Paysage nuancé
Mélange de briques et de bois
Qui s’évanouissent,
Et l’inconnu semble serein.
Soudain tout s’arrête,
L’inconnu se réveil
Et me quitte.