04 Nov
04Nov

Faisceau de lumière statique

Tu ne peux de mon regard

Te cacher

Tandis que l’inconnu

Les yeux fermés

Dort à mes côtés

Dans cet assourdissant brouhaha.


Soudain tout disparaît

Sous un dégradé de couleurs printanières

Que l’inconnu dans son sommeil

Ne peut admirer.


Paysage nuancé

Mélange de briques et de bois

Qui s’évanouissent,

Et l’inconnu semble serein.


Soudain tout s’arrête,

L’inconnu se réveil

Et me quitte.

Commentaires
* L'e-mail ne sera pas publié sur le site web.
CE SITE A ÉTÉ CONSTRUIT EN UTILISANT